Résistance au changement et logiciels libres
Selon Wikipédia, « La résistance (ou aversion) au changement ou immobilisme, consiste à désirer, et tenter d’obtenir par diverses formes de comportements d’opposition, le maintien du statu quo par procrastination ». Michel Crozier, sociologue des organisations (et grand ami du capitalisme triomphant), la définit comme « l’expression raisonnable et légitime des risques que comporte le changement pour les acteurs », introduisant deux notions (raisonnable et légitime) qu’il n’est pas inutile d’interroger : dans un contexte de transition subie (le dérèglement climatique, par exemple), la résistance est-elle raisonnable et légitime ?
Cette problématique de la résistance au changement n’est donc pas spécifique au numérique : elle est un frein, plus ou moins puissant, à toute évolution, toute remise en cause d’un ordre existant.
Alors comment expliquer qu’elle soit si prégnante dans les projets de passage aux logiciels libres ?
Publié par Nicolas Vivant le
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