Ernest Coustet - La photographie des couleurs
Ernest Coustet - La photographie des couleurs
Paris : Bibliothèque Larousse | 1907 | PDF/ocr | 7 MB
Les procédés que nous allons examiner donnent tous, dès à. présent, des résultats certains, et semblent d’ailleurs appelés, non à se faire concurrence, mais à jouer chacun un rôle distinct. De même que, dans la photographie ordinaire, nous utilisons tour à tour le gélatino-bromure, le citrate d’argent, le papier au charbon, la gomme bichromatée, les sels de fer et de platine, de même il est logique, selon les conditions du tirage et suivant l’effet à obtenir, d’avoir recours tantôt à la méthode interférentielle, tantôt aux impressions superposées, tantôt à la trichrome par éléments juxtaposés, tantôt à la photochromie par décoloration.
L’exposé de ces diverses solutions est précédé d’une étude sommaire de l’orthochromatisme, sans lequel toutes les tentatives de reproduction photographique des couleurs basées sur la sensibilité des sels d’argent resteraient inévitablement infructueuses.
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